I/La pilule oestroprogestative
Principes et modes d’action
Absorption par voie digestive, métabolisme hépatique et élimination biliaire. Existence d’un cycle entéro-hépatique.
4 Verrous contraceptifs :
• Inhibition de la croissance folliculaire
• Absence de pic LH et FSH sous la dépendance de l’estrogène et surtout du progestatif
• Modifications de la glaire cervicale, épaisse et rare, sous la dépendance du progestatif
• Atrophie de l’endomètre, inapte à la nidation sous la dépendance du progestatif.
Ces 4 verrous assurent l’efficacité de la pilule et expliquent aussi :
Définition
La dysérection se définit par l’incapacité d’obtenir une rigidité du pénis suffisante pour accomplir un acte sexuel satisfaisant.
La prévalence de cette défaillance a été récemment évaluée par une enquête de la Sofres à 10 % avant 50 ans et à 25 % après 60 ans.
De plus en plus, l’homme consulte pour une dysérection depuis qu’il est de notoriété publique que des traitements peu invasifs existent (55 % de la population masculine en est informé).
L’examen clinique d’un patient doit être mené de façon méthodique, en vue d’effectuer un premier classement entre dysérection psychogène, dysérection organique ou dysérection multifactorielle.
L’asthénie est un motif fréquent de consultation. La fatigue est un processus normal, alors que l’asthénie relève de la pathologie ; elle n’est pas soulagée par le repos et apparaît souvent dès le matin.
Environ 40 % des consultants en médecine générale se plaignent de fatigue, souvent invalidante, altérant la qualité de vie. Une cause organique n’est authentifiée que dans 20 à 40 % des cas, alors qu’une cause psychiatrique est responsable de 50 à 65 % des cas et que, dans 10 à 30 % des cas, aucun diagnostic n’est retenu. C’est dire la difficulté du diagnostic étiologique d’un symptôme très fréquent.
Action thérapeutique
– Cardiotonique
Indications
– Arythmies supra-ventriculaires (fibrillation, flutter, tachycardie paroxystique)
– Insuffisance cardiaque
Présentation et voie d'administration
– Ampoule à 500 μg ou 0,50 mg (250 μg ou 0,25 mg/ml, 2 ml), pour injection IV lente ou perfusion dans du glucose à 5% ou du chlorure de sodium à 0,9%