FORMES et PRÉSENTATIONS 
Comprimé à 0,5 mg (blanc) :  Boîte de 30, sous plaquette thermoformée.


COMPOSITION 
 p cp
Dexaméthasone (DCI) acétate 0,5 mg
Excipients : lactose monohydraté, saccharose (4,1 mg/cp), amidon de pomme de terre, gélatine, stéarate de magnésium, talc.





Comprimé effervescent à 5 mg (blanc) :  Flacon de 30.
Comprimé effervescent à 20 mg (blanc) :  Flacon de 20.
Comprimé orodispersible à 5 mg (blanc) :  Boîte de 30, sous plaquettes thermoformées.

Modèle hospitalier : Boîte de 50, sous plaquettes thermoformées.
Comprimé orodispersible à 20 mg (blanc) :  Boîte de 20, sous plaquettes thermoformées.

Modèle hospitalier : Boîte de 50, sous plaquettes thermoformées.
Solution buvable à 1 mg/ml :  Flacon de 50 ml avec doseur (4 graduations : 0,5 ml, 1 ml, 1,5 ml, 2 ml).






Comprimé à 1 mg (blanc) :  Boîte de 30, sous plaquette thermoformée.
Comprimé sécable à 5 mg (blanc) :  Boîte de 30, sous plaquette thermoformée.
Comprimé sécable à 20 mg (blanc) :   
Boîte de 20, sous plaquette thermoformée.

Modèle hospitalier : Boîte de 100, sous plaquettes thermoformées.





Comprimé dispersible sécable à 2 mg (blanc) :  Flacon de 20.


COMPOSITION 
 p cp
Bétaméthasone (DCI) 2 mg
Excipients : granulé à base de lactose monohydraté et de poudre de cellulose 75/25 (Cellactose), crospovidone (Polyplasdone XL 10), aspartam, stéarate de magnésium.




FORME
comprimé pelliculé


COMPOSITION

par 1 comprimé 
tiémonium méthylsulfate50 mg
Excipients : amidon de blé (gluten), lactose, saccharose, magnésium stéarate, silice colloïdale, hypromellose, macrogol 6000, titane dioxyde.





DI-INDO ®
 
(Indométacine calcique pentahydrate)
FORMES PHARMACEUTIQUES ET PRESENTATIONS
- Comprimés effervescents dosés à 50 mg en boîte de 15
- Comprimés dispersibles dosés à 50 mg en boîte de 15
- Comprimés effervescents dosés à 25 mg en boîte de 30
(2 tubes de 15 comprimés).
- Comprimés dispersibles dosés à 25 mg en boîtes de 30
comprimés
- Gélules dosées à 25 mg (imprimé « DI-INDO 25 mg »)
 ivoire
-orange en boîtes de 30 gélules
- Suppositoires dosés à 50 mg en boîtes de 10 suppositoires
- Suppositoires dosés à 100 mg en boîtes de 10 suppositoires







ALGANTIL (IBUPROFENE)

PRESENTATIONS
Dragées à 200 mg : Boîte de 20 dragées
Comprimés effervescents à 200 mg : Boites de 10 et 20 cps
Suspension buvable pédiatrique à 2 % :
Suppositoires dosés à 250 mg :









Relancer la production de nouveaux neurones chez les personnes âgées, afin de freiner le déclin cognitif lié au vieillissement ? Une prouesse impossible à l’heure actuelle, mais qui sera peut-être bientôt réalisable.


En effet, des chercheurs de l’Inserm et du CEA viennent de découvrir que la production de nouveaux neurones chez la souris pouvait être stimulée via le bloquage d’une molécule appelée TGFβ. Un résultat publié en ligne le 25 mars 2013 dans la revue EMBO Molecular Medicine.

Au cours de leurs travaux, le biologiste Jose R. Pineda et ses collègues ont cherché à mettre au jour les causes du ralentissement, voire de l’arrêt total, de la neurogenèse au cours du vieillissement (la neurogenèse est le mécanisme qui conduit à la formation de nouveaux neurones). Une question centrale, puisque la fabrication de nouveaux neurones est précisément ce qui garantit le maintien de l’ensemble des facultés cognitives d’un individu.

Plus précisément, les chercheurs de l’Inserm et du CEA avait pour objectif de résoudre une énigme qui demeurait non résolue depuis plusieurs années : comprendre pourquoi la neurogenèse est ralentie, voire stoppée, au cours du vieillissement alors même qu’il reste encore dans le cerveau des cellules souches qui pourraient tout à fait bien assurer la poursuite de la neurogenèse. En effet, plusieurs études menées au cours de ces dernières années ont montré que le vieillissement n’entraîne pas une destruction complète des cellules-souches neurales qui sont à l’origine de la production des nouveaux neurones : une poignée d’entre elles subsiste dans une aire cérébrale spécifique, appelée la zone sous-ventriculaire. Problème : ces cellules-souches « survivantes » sont comme désactivées, incapables par conséquent de générer de nouveaux neurones.

Or, en menant des recherches sur des souris, Jose R. Pineda et ses collègues ont découvert que la désactivation de ces cellules souches situées dans la zone sous ventriculaire du cerveau est en réalité causée par l’action d’une molécule appelée TGFβ : lorsque cette molécule est bloquée artificiellement, alors cela relance la production de nouveaux neurones. De la même manière, les chercheurs ont découvert que le blocage de la molécule TGFβ avait un effet bénéfique similaire sur des souris ayant été préalablement irradiées. Un résultat intéressant, puisqu’on sait qu’une irradiation, survenant dans le cadre d’une radiothérapie par exemple, est susceptible, tout comme le vieillissement, d’altérer considérablement la neurogenèse.


Des résultats prometteurs, qui laissent entrevoir la possibilité de mettre au point de nouveaux traitements capables de maintenir ou de relancer la production de nouveaux neurones chez les personnes âgées, mais aussi chez les individus ayant subi un traitement par radiothérapie