Affichage des articles dont le libellé est Actualités Médicales. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Actualités Médicales. Afficher tous les articles


I/La pilule oestroprogestative

Principes et modes d’action

Absorption par voie digestive, métabolisme hépatique et élimination biliaire. Existence d’un cycle entéro-hépatique.
4 Verrous contraceptifs :
• Inhibition de la croissance folliculaire
• Absence de pic LH et FSH sous la dépendance de l’estrogène et surtout du progestatif
• Modifications de la glaire cervicale, épaisse et rare, sous la dépendance du progestatif
• Atrophie de l’endomètre, inapte à la nidation sous la dépendance du progestatif.
Ces 4 verrous assurent l’efficacité de la pilule et expliquent aussi :


Ingrédients :

  • 3 tasses d’eau
  • 5 cm de racine de gingembre frais
  • ½ citron
  • 1 cuillère à soupe de miel

Préparation : 

Râpez la racine de gingembre, et pressez le demi-citron, versez les 3 tasses d’eau dans un bocal, puis ajoutez-y le miel, le jus de citron, et la racine râpée de gingembre. Mélangez bien les ingrédients et mettez le bocal au réfrigérateur. Consommer un verre de cette boisson pour profiter de ses bienfaits.

Bienfaits des ingrédients :

Selon plusieurs études, le gingembre favorise la sécrétion de la bile, stimule l’activité des enzymes digestives, et soulage les troubles digestifs, en évacuant les gaz intestinaux, et en soulageant les brûlures d’estomac.
Le citron donne un coup de pouce au corps dans son processus de digestion pour éliminer les symptômes douloureux. Les enzymes trouvées dans le citron sont similaires à celles des sucs digestifs, donc l’estomac remarque peu de différence entre les deux et reprend ses tâches digestives.
Des recherches indiquent que le miel peut être efficace pour éradiquer les infections à Helicobacter pylori, qui peuvent causer des ulcères d’estomac, en plus d’avoir un effet sur le reflux gastrique.

Mises en garde :

Le gingembre est à ne pas consommer pour les diabétiques, les femmes enceintes et allaitantes, et les personnes chétives.
Le citron est déconseillé aux personnes qui ont des allergies aux agrumes, ou souffrant de troubles rénaux ou biliaires.

Après une conférence sur la prévention du cancer

Quelques points intéressants

1. Non à l'huile raffinée
2. Non aux laits d'origine animale .
3. Non aux cubes(knorr, Maggi,..etc)
4. Non à la consommation des jus gazéification (32 morceaux de sucre par litre)
5. Non aux sucres raffinés 
6.Non aux micro-ondes
7.Non aux mammographies à répétition 
8.Non aux soutiens gorges trop serrés ou après retour du boulot.
9. Non à l'alcool
10. réchauffage des repas congelés
11. non à la conservation de l'eau au frigo dans des bouteilles plastiques...
12. toutes les pilules contraceptives ne sont pas bonnes parce qu'elles changent le système hormonal de la femme et donnent le cancer. 
13. Déodorants sont dangereux surtout utilisés après rasage. 
14.Les femmes qui allaitent attrapent moins le cancer du sein que celles qui n'allaitent pas. 
15. Les cellules cancéreuses se nourrissent essentiellement de sucre, donc tout ce qui est sucre blanc ou même le marron est à éviter. 
16. Un cancéreux qui supprime le sucre dans son alimentation voit sa maladie régresser et peut vivre longtemps: sucre=ennemi mortel.
Oui aux:
1. Crudités
2. Miel en quantité mesurée à la place du sucre
3. protéines végétales tel le haricot par rapport à la viande
4. Deux verres d'eau à jeun après brossage. 
5. Repas non rechauffés
6. Jus anti cancer: aloe Véra+gingembre+persil+céleri+promaline (milieu de l'ananas) mixer et boire à jeun.
7. Autre jus anti cancer: corossol (sans pépins)+promaline.
8. Manger la carotte crue ou cuite ou en jus chaque jour.




L'association des docteurs Américains a donné les réponses à la cause de cancer :




1. Ne buvez pas du thé dans une tasse (gobelet) en plastique.
2.Ne mangez rien de chaud dans un papier ou sac plastique. Exemple :pomme de terre frites 
3.  Ne faites pas cuire les aliments au micro onde en utilisant de matériel plastique.




RAPPEL




Quand Le plastique est en contact avec la chaleur, cela crée des produits chimiques qui peuvent causer 52 types de cancer.








Relancer la production de nouveaux neurones chez les personnes âgées, afin de freiner le déclin cognitif lié au vieillissement ? Une prouesse impossible à l’heure actuelle, mais qui sera peut-être bientôt réalisable.


En effet, des chercheurs de l’Inserm et du CEA viennent de découvrir que la production de nouveaux neurones chez la souris pouvait être stimulée via le bloquage d’une molécule appelée TGFβ. Un résultat publié en ligne le 25 mars 2013 dans la revue EMBO Molecular Medicine.

Au cours de leurs travaux, le biologiste Jose R. Pineda et ses collègues ont cherché à mettre au jour les causes du ralentissement, voire de l’arrêt total, de la neurogenèse au cours du vieillissement (la neurogenèse est le mécanisme qui conduit à la formation de nouveaux neurones). Une question centrale, puisque la fabrication de nouveaux neurones est précisément ce qui garantit le maintien de l’ensemble des facultés cognitives d’un individu.

Plus précisément, les chercheurs de l’Inserm et du CEA avait pour objectif de résoudre une énigme qui demeurait non résolue depuis plusieurs années : comprendre pourquoi la neurogenèse est ralentie, voire stoppée, au cours du vieillissement alors même qu’il reste encore dans le cerveau des cellules souches qui pourraient tout à fait bien assurer la poursuite de la neurogenèse. En effet, plusieurs études menées au cours de ces dernières années ont montré que le vieillissement n’entraîne pas une destruction complète des cellules-souches neurales qui sont à l’origine de la production des nouveaux neurones : une poignée d’entre elles subsiste dans une aire cérébrale spécifique, appelée la zone sous-ventriculaire. Problème : ces cellules-souches « survivantes » sont comme désactivées, incapables par conséquent de générer de nouveaux neurones.

Or, en menant des recherches sur des souris, Jose R. Pineda et ses collègues ont découvert que la désactivation de ces cellules souches situées dans la zone sous ventriculaire du cerveau est en réalité causée par l’action d’une molécule appelée TGFβ : lorsque cette molécule est bloquée artificiellement, alors cela relance la production de nouveaux neurones. De la même manière, les chercheurs ont découvert que le blocage de la molécule TGFβ avait un effet bénéfique similaire sur des souris ayant été préalablement irradiées. Un résultat intéressant, puisqu’on sait qu’une irradiation, survenant dans le cadre d’une radiothérapie par exemple, est susceptible, tout comme le vieillissement, d’altérer considérablement la neurogenèse.


Des résultats prometteurs, qui laissent entrevoir la possibilité de mettre au point de nouveaux traitements capables de maintenir ou de relancer la production de nouveaux neurones chez les personnes âgées, mais aussi chez les individus ayant subi un traitement par radiothérapie