DI-INDO ®
(Indométacine calcique pentahydrate)
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Relancer la production de nouveaux neurones chez les
personnes âgées, afin de freiner le déclin cognitif lié au
vieillissement ? Une prouesse impossible à l’heure actuelle, mais qui
sera peut-être bientôt réalisable.
En effet, des chercheurs de l’Inserm et du CEA viennent de découvrir
que la production de nouveaux neurones chez la souris pouvait être
stimulée via le bloquage d’une molécule appelée TGFβ. Un résultat publié en ligne le 25 mars 2013 dans la revue EMBO Molecular Medicine.
Au cours de leurs travaux, le biologiste Jose R. Pineda et ses
collègues ont cherché à mettre au jour les causes du ralentissement,
voire de l’arrêt total, de la neurogenèse au cours du vieillissement (la
neurogenèse est le mécanisme qui conduit à la formation de nouveaux
neurones). Une question centrale, puisque la fabrication de nouveaux
neurones est précisément ce qui garantit le maintien de l’ensemble des
facultés cognitives d’un individu.
Plus précisément, les chercheurs de l’Inserm et du CEA avait pour
objectif de résoudre une énigme qui demeurait non résolue depuis
plusieurs années : comprendre pourquoi la neurogenèse est ralentie,
voire stoppée, au cours du vieillissement alors même qu’il reste encore
dans le cerveau des cellules souches qui pourraient tout à fait bien
assurer la poursuite de la neurogenèse. En effet, plusieurs études
menées au cours de ces dernières années ont montré que le vieillissement
n’entraîne pas une destruction complète des cellules-souches neurales
qui sont à l’origine de la production des nouveaux neurones : une
poignée d’entre elles subsiste dans une aire cérébrale spécifique,
appelée la zone sous-ventriculaire. Problème : ces cellules-souches «
survivantes » sont comme désactivées, incapables par conséquent de
générer de nouveaux neurones.
Or, en menant des recherches sur des souris, Jose R. Pineda et ses
collègues ont découvert que la désactivation de ces cellules souches
situées dans la zone sous ventriculaire du cerveau est en réalité causée
par l’action d’une molécule appelée TGFβ : lorsque cette molécule est
bloquée artificiellement, alors cela relance la production de nouveaux
neurones. De la même manière, les chercheurs ont découvert que le
blocage de la molécule TGFβ avait un effet bénéfique similaire sur des
souris ayant été préalablement irradiées. Un résultat intéressant,
puisqu’on sait qu’une irradiation, survenant dans le cadre d’une
radiothérapie par exemple, est susceptible, tout comme le
vieillissement, d’altérer considérablement la neurogenèse.
Des résultats prometteurs, qui laissent entrevoir la possibilité de
mettre au point de nouveaux traitements capables de maintenir ou de
relancer la production de nouveaux neurones chez les personnes âgées,
mais aussi chez les individus ayant subi un traitement par radiothérapie
DC | INDICATIONS |
Elles procèdent de l'activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la gentamicine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l'éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
Elles sont limitées à :
Un médicament générique est un médicament identique ou équivalent à celui d'une marque (appelé médicament princeps), mais produit et vendu sous sa dénomination commune internationale (DCI, nom chimique de la substance) ou sous un nouveau nom commercial. La substance active (ou principe actif du médicament) en est identique à celle du produit de marque, les seules différences possibles étant la présentation et les excipients.
Ces médicaments génériques peuvent être produits après expiration du brevet, ou en l'absence de brevet. De nos jours, de très nombreux médicaments issus de la recherche ont vu, au cours des années, leur brevet tomber dans le domaine public, dans le patrimoine commun de l'humanité, et leurs gammes couvrent un très large éventail de maladies aiguës ou chroniques, graves ou bénignes. Pour des raisons politiques, une entorse peut être imposée sur des médicaments encore protégés.