La victime est inconsciente et respire : alertez le 15.
En attendant les secours, il est impératif de la mettre en Position Latérale
de Sécurité (PLS) :
≥ basculer sa tête en arrière, puis faites-la rouler sur le côté avec un bras
sous la tête :
≥ couvrez la victime et surveillez-la jusqu’à l’arrivée
des secours.

N’oubliez pas !
En cas d’urgence, composez le 15.
24 h sur 24
un médecin sera à votre écoute,
et selon vos réponses au sujet de la situation, vous enverra :
• un médecin
• une ambulance
• le SMUR (Service Mobile d’Urgence et de Réanimation)

Le bouche à bouche

≥ La victime est inconsciente et ne respire pas :
• Allongez-là sur un plan dur, sur le dos.
• Agenouillez vous à ses côtés, maintenez sa tête basculée, une main pinçant le nez, l’autre sur le menton relevé vers le haut.
• Prenez une inspiration profonde et appliquez votre bouche largement ouverte sur la sienne.
• Souffler 2 fois dans sa bouche de telle façon que sa poitrine se soulève.
• Si la victime ne réagit pas, pratiquez immédiatement le massage cardiaque.


Le massage cardiaque chez l’adulte
≥ La victime est inconsciente, ne répond pas aux ordres simples, ne respire pas et
ne présente pas de signes de circulation (absence de pouls) :
• Alertez le 15.
• Placez vos mains l’une sur l’autre, sur le bas du sternum de la victime (partie
centrale du thorax) ; bras tendus, appuyez avec la talon de la main, en y mettant le poids du corps.
• Faites 15 compressions cardiaques en alternance avec 2 insufflations par le
bouche à bouche.
• Pousuivre le massage cardiaque et le bouche à bouche jusqu’à l’arrivée des
secours.
Le massage cardiaque chez l’enfant

≥ L’enfant est inconscient, ne répond pas aux ordres simples, ne respire
pas et ne présente pas de signes de circulation (absence de pouls) :
• Alertez le 15.
• Placez vos pouces sur le bas de son sternum (partie centrale du thorax).
• Faites 15 compressions cardiaques en alternance avec 2 insufflations par le
bouche à bouche.
• Pousuivre le massage cardiaque et le bouche à bouche jusqu’à l’arrivée
des secours.




Alertez le 15 et le centre antipoison
• Précisez au médecin en ligne :
≥ la nature du produit avec description de l’emballage
≥ l’heure probable de l’ingestion
≥ l’état de la personne
≥ l’état de conscience
≥ les douleurs éventuelles
• En attendant les secours, ne faites pas boire ni vomir.
• S’il y a somnolence ou coma, mettre la personne en position
latérale de sécurité .



≥ Si la victime peut parler ou tousser volontairement et respire suffisamment, n’empêchez pas ses tentatives de débloquer elle-même sa gorge.
≥ Si au contraire la victime ne peut ni parler ni respirer, appelez le 15 et pratiquez immédiatement la manoeuvre de Heimlich.

La manoeuvre de Heimlich

Si rien ne s’arrange :
• Placez vous derrière l’adulte ou l’enfant.
• Appuyez un poing sur son estomac au dessous du sternum.
• Placez l’autre main sur le poing.
• Tirez brusquement vos deux mains vers vous, afin de chasser d’un seul coup l’air de ses poumons et permettre l’éjection du corps étranger.
• Répétez 3 à 4 fois si nécessaire.
• Si la respiration spontanée ne reprend pas, pratiquez immédiatement la ventilation artificielle.

Chez l’enfant de plus d’un an, la manoeuvre de Heimlich s’applique avec davantage de précautions que de force.
Pour un bébé de moins d’1 an :
• Placez-le à califourchon sur votre avant-bras et tapez lui dans le dos ; si vous n’obtenez aucun succès, pratiquez la manoeuvre de Heimlich, avec l’enfant couché sur le dos et placé sur vos genoux.

Dans le doute, mieux vaut agir comme si le membre était
fracturé.
• Evitez tout mouvement et toute manipulation.
• Calez éventuellement le membre traumatisé.
• Alertez le 15.

Traumatismes du dos, de la nuque ou de la tête

Des gestes inappropriés peuvent entraîner des séquelles importantes.
• Toute mobilisation de la victime doit être évitée.
• Alertez le 15.
• Conseillez à la victime de ne pas bouger et maintenez sa tête avec vos deux mains.
• Parlez lui régulièrement en attendant les secours.


N’oubliez pas de tenir votre vaccination antitétanique à jour.
Plaies simples
• Lavez-vous les mains.
• Nettoyez la plaie à l’eau et au savon.
• Protégez la plaie avec un pansement adhésif.

Plaie de l’oeil

Ne touchez à rien.
• Allongez le blessé à plat sur le dos et tête calée.
• Recommandez au blessé de fermer les yeux et de ne pas les frotter (maintenir
les mains de l’enfant !)
• Couvrez les yeux d’un linge propre sans pression.
• Alertez le 15.
Plaies hémorragiques

• Appuyez fortement sur la plaie à l’aide d’un linge propre pour stopper le saignement pendant au moins 5 mn.
• Surélevez le membre blessé.
• Quand le saignement est arrêté, fixez le linge avec un bandage sans trop le serrer.
• Alertez le 15.
Saignement de nez
Faites moucher pour faire évacuer les caillots.
• Comprimez les deux narines avec les doigts pendant 10 mn
(respiration par la bouche).
Pour effectuer ces gestes, mettez la personne assise, légèrement penchée en avant, la tête vers le bas.

Section de doigt

• Mettez le bout de doigt, enveloppé dans un linge propre, dans
un sac en plastique et placer ce sac dans un second contenant des glaçons.
•  Alertez le 15.



Elles nécessitent :
• une vaccination antitétanique à jour
• des gestes immédiats.
Pour une victime qui présente des brûlures :
• Douchez les endroits brûlés pendant 10 mn avec de l’eau froide sans trop de pression.

• Ne nettoyez pas vous-même la brûlure et ne retirez pas les vêtements brûlés qui adhèrent à la peau.
• Appelez le 15.
• Rassurez, calmez et surveillez le brûlé.
S’il y a absence de douleur, il s’agit d’une brûlure grave.
• Ne mettez jamais de matières grasses, de vinaigre ou de produit colorant sur une brûlure.

Brûlure chimique

• Alertez le 15.
• Procédez
comme décrit précédemment.

Brûlure électrique

D’apparence souvent bénigne, elle est grave dès que le voltage est élevé.
Ne touchez pas à la victime avant interruption complète du courant électrique.
• Débranchez ou éteignez la source électrique.
• Séparez la victime de la source électrique en utilisant un objet sec, par exemple un manche à balai ou un vêtement, en prenant soin de garder vos pieds au sec.


Les quatre stades de la maladie asthmatique
STADE 1 : ASTHME À CRISES INTERMITTENTES
– < 1 crise par semaine.
– Exacerbations minimes.
– < 2 crises nocturnes par mois.
– Périodes intercritiques sans incidents.
– DEP ou VEMS > 80 % de la valeur théorique.
Les corticoïdes inhalés ne sont pas indiqués.
STADE 2 : ASTHME PERSISTANT LÉGER
– > 1 crise par semaine, mais < 1 par jour.
– > 2 crises nocturnes par mois (activité et sommeil partiellement entravés).
– DEP ou VEMS > 80 % de la valeur théorique, avec variabilité de 20 à 30 %.
Les corticoïdes inhalés sont le plus souvent nécessaires : posologie de 500 à 800 μg/jour.
STADE 3 : ASTHME PERSISTANT MODÉRÉ
– Incidents respiratoires quotidiens.
– > 1 crise nocturne par semaine.
– Activité et sommeil perturbés.
– ß-2-mimétiques quotidiennement indispensables.
– DEP ou VEMS entre 60 et 80 % de la valeur théorique, avec variabilité > 30 %.
Les corticoïdes inhalés sont indiqués : posologie de 800 à 2000 μg/jour.
STADE 4 : ASTHME PERSISTANT SÉVÈRE
– Dyspnée permanente.
– Crises diurnes et nocturnes fréquentes.
– Activité physique très perturbée.
– DEP ou VEMS < 60 % de la valeur théorique, avec variabilité > 30 %.
Les corticoïdes inhalés sont indispensables : posologie 2 000 mg/jour. Une corticothérapie orale est
souvent nécessaire.

■ TRAITEMENT

TRAITEMENT DE LA CRISE
Le plus souvent, ß-2-mimétique en automédication : Ventoline (2 à 4 bouffées par spray ou par
chambre d’expansion, dès le début de la crise) ou Bricanyl.
Le praticien n’intervient qu’en cas de crise non maîtrisée : injection sous-cutanée de Bricanyl ; éventuellement
corticothérapie orale brève voire IV.
Une hospitalisation peut être nécessaire s’il existe un élément de gravité.
TRAITEMENT DE FOND
Il s’adresse aux stades 2, et surtout 3 et 4.
Les corticoïdes inhalés, en spray, tubuhaler ou diskus, 2 fois par jour. Il faut en expliquer les divers
modes d’emploi :
– entre autres : beclometasone, Bécotide, Prolair autohaler 250 μg ; budésonide, Pulmicort turbuhaler
ou nébuliseur ; fluticasone, Flixotide aérosol ou Flixotide diskus, etc. ;
– chaque nébulisation doit être suivie d’un rinçage de bouche, afin de prévenir une possible mycose ; il
peut exister une certaine raucité de la voix ; l’action systémique est discutée.
Le malade doit savoir qu’il existe une latence d’environ 2 à 3 semaines avant de percevoir l’effet bénéfique
recherché.
Aux stades 3 et 4 de la maladie, il est souvent utile d’associer aux corticoïdes inhalés :
– un ß-2-mimétique de longue durée d’action, type salmétérol, Sérévent (aérosol ou diskus) ou
formotérol, Foradil (poudre en gélules pour inhalations) ;
– un antileucotriène : montélukast, Singulair ;
– une cromone : Tilade (à inhaler, par exemple avant un effort) ;
– une théophylline : Euphylline L. A. en connaissant ses effets secondaires possibles (troubles digestifs,
insomnie, tachycardie) et en contrôlant au besoin la théophyllinémie.
À tous les stades de l’asthme, une corticothérapie orale brève ou plus ou moins longue peut s’avérer
indispensable.
Selon les cas, il peut être utile : de modifier les conditions professionnelles ou l’environnement
(animaux, literie, moquette…) ou de recourir à une désensibilisation spécifique.
Il faut rappeler que les béta-bloqueurs (y compris en collyres) sont contre-indiqués chez l’asthmatique.
Il faut faire cesser le tabagisme, s’il existe.

Après une conférence sur la prévention du cancer

Quelques points intéressants

1. Non à l'huile raffinée
2. Non aux laits d'origine animale .
3. Non aux cubes(knorr, Maggi,..etc)
4. Non à la consommation des jus gazéification (32 morceaux de sucre par litre)
5. Non aux sucres raffinés 
6.Non aux micro-ondes
7.Non aux mammographies à répétition 
8.Non aux soutiens gorges trop serrés ou après retour du boulot.
9. Non à l'alcool
10. réchauffage des repas congelés
11. non à la conservation de l'eau au frigo dans des bouteilles plastiques...
12. toutes les pilules contraceptives ne sont pas bonnes parce qu'elles changent le système hormonal de la femme et donnent le cancer. 
13. Déodorants sont dangereux surtout utilisés après rasage. 
14.Les femmes qui allaitent attrapent moins le cancer du sein que celles qui n'allaitent pas. 
15. Les cellules cancéreuses se nourrissent essentiellement de sucre, donc tout ce qui est sucre blanc ou même le marron est à éviter. 
16. Un cancéreux qui supprime le sucre dans son alimentation voit sa maladie régresser et peut vivre longtemps: sucre=ennemi mortel.
Oui aux:
1. Crudités
2. Miel en quantité mesurée à la place du sucre
3. protéines végétales tel le haricot par rapport à la viande
4. Deux verres d'eau à jeun après brossage. 
5. Repas non rechauffés
6. Jus anti cancer: aloe Véra+gingembre+persil+céleri+promaline (milieu de l'ananas) mixer et boire à jeun.
7. Autre jus anti cancer: corossol (sans pépins)+promaline.
8. Manger la carotte crue ou cuite ou en jus chaque jour.




L'association des docteurs Américains a donné les réponses à la cause de cancer :




1. Ne buvez pas du thé dans une tasse (gobelet) en plastique.
2.Ne mangez rien de chaud dans un papier ou sac plastique. Exemple :pomme de terre frites 
3.  Ne faites pas cuire les aliments au micro onde en utilisant de matériel plastique.




RAPPEL




Quand Le plastique est en contact avec la chaleur, cela crée des produits chimiques qui peuvent causer 52 types de cancer.


OMPOSITION 
 p ovule
Isoconazole (DCI) nitrate micronisé 300 mg
Excipients : glycérides semi-synthétiques solides (suppocire).

DCINDICATIONS 
Mycoses vaginales et vulvovaginales (candidoses), surinfectées ou non par des bactéries à Gram +.

DCPOSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION 
1 ovule le soir pendant 3 jours. 
Introduire l'ovule profondément dans le vagin, de préférence en position allongée. 
Pour traiter les extensions vulvaire ou péri-anale de la candidose, il est recommandé d'associer aux ovules gynécologiques une crème appliquée localement. 
Coût du traitement journalier :  1,65 euro(s).

Conseils pratiques :
  • Utiliser un savon surgras pour la toilette : il est déconseillé d'utiliser un savon à pH acide (pH favorisant la multiplication de candida).
  • Il est préférable de ne pas pratiquer d'injections vaginales et de ne pas porter de tampon interne pendant le traitement.
  • Ne pas interrompre le traitement pendant les règles.
  • Utiliser des sous-vêtements en coton et les faire bouillir.

DCCONTRE-INDICATIONS 
Intolérance ou sensibilisation aux dérivés imidazolés ou à l'un des constituants du produit.

DCMISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI 
En l'absence d'une symptomatologie clinique évocatrice, la seule constatation d'un candida sur les muqueuses ne peut constituer en soi une indication. 
La candidose confirmée, il faut rechercher avec soin les facteurs écologiques permettant et favorisant le développement du champignon. 
Pour éviter les rechutes, l'éradication ou la correction des facteurs favorisants est indispensable. 
Il est souhaitable de traiter simultanément tout foyer à candida, reconnu pathogène, associé.

DCEFFETS INDÉSIRABLES 
Le risque d'effets systémiques est faible (cf Pharmacocinétique).
Exceptionnelles manifestations allergiques générales, en particulier urticaires et oedème de Quincke.
Localement, on peut observer une réactivation des sensations de brûlure ou du prurit ; ces manifestations, toutefois, n'entraînent l'arrêt du traitement qu'exceptionnellement.
Exceptionnellement, des cas d'eczéma de contact ont été rapportés.

PPPHARMACODYNAMIE
Anti-infectieux et antiseptiques, associations aux corticoïdes exclues (code ATC : G01AF07 ; G : système génito-urinaire et hormones sexuelles).
Antifongique (famille des imidazolés).
Le nitrate d'isoconazole possède une action antimycosique puissante et à large spectre, en particulier sur les différentes espèces de candida, ainsi qu'une action bactéricide sur les germes à Gram +.
In vitro à la concentration de 10 µg/ml, le nitrate d'isoconazole inhibe la multiplication de la plupart des espèces pathogènes. L'activité fongicide se manifeste à partir d'une concentration de 50 µg/ml.
A la concentration de 500 µg/ml, la fongicidie est très rapide puisque la proportion des blastospores tuées est de 92 % en 2 heures et de plus de 99 % en 24 heures.


FORMES et PRÉSENTATIONS 
Solution rectale : Récipients unidoses de 3 ml avec canules, boîte de 4.


COMPOSITION 
 p unidose
Sorbitol à 70 % cristallisable 2,679 g
Citrate de sodium  270 mg
Laurylsulfoacétate de sodium à 70 % 38,7 mg
Excipients : acide sorbique, glycérol, eau purifiée.
3,87 g = 3 ml de solution rectale.

DCINDICATIONS 
  • Traitement symptomatique de la constipation basse, notamment par dyschésie rectale. 
  • Préparation aux examens endoscopiques du rectum.

DCPOSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION 
Posologie : 
  • Traitement symptomatique de la constipation : 1 récipient unidose par jour.
  • Préparation aux examens endoscopiques du rectum : 1 récipient unidose administré 5 à 20 minutes avant l'heure choisie pour la selle.

Mode d'administration : 
  • Couper l'embout.
  • Introduire la canule dans le rectum et vider par pression tout le contenu du tube, retirer la canule sans relâcher la pression sur le tube.

DCMISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI 

Mises en garde : 
Une utilisation prolongée est déconseillée.
Le traitement médicamenteux de la constipation n'est qu'un adjuvant au traitement hygiéno-diététique :
  • enrichissement de l'alimentation en fibres végétales et en boissons ;
  • conseils d'activité physique et de rééducation de l'exonération.
Chez l'enfant, la prescription de laxatif doit être exceptionnelle (risque d'entraver le fonctionnement normal du réflexe d'exonération).
Précautions d'emploi : 
Il est recommandé d'éviter l'emploi de ce médicament dans le cas de poussées hémorroïdaires, de fissures anales ou de rectocolite hémorragique.

DCEFFETS INDÉSIRABLES 
Un usage prolongé peut donner lieu à des sensations de brûlures anales et, exceptionnellement, à des rectites congestives.


FORMES et PRÉSENTATIONS  

Vogalène Lyoc : 
Lyophilisat oral à 7,5 mg :  Boîte de 16, sous plaquettes thermoformées. 



Vogalène : 
Gélule à 15 mg (opaque ; blanche) :  Boîte de 20, sous plaquettes thermoformées. 
Solution buvable à 0,1 % :  Flacon de 150 ml + seringue pour administration orale graduée en kg de poids de l'enfant (de 2 à 15 kg). 
Solution buvable à 0,4 % :  Flacon de 30 ml (1200 gouttes), avec compte-gouttes. 
Solution injectable à 10 mg/1 ml :  Ampoules de 1 ml, boîte de 10.
Suppositoire sécable à 5 mg :  Boîte de 10, sous plaquettes thermoformées.


COMPOSITION  
Lyophilisat oral :p lyophilisat
Métopimazine (DCI) micronisée 7,5 mg
Excipients : gomme xanthane (Rhodigel 23), aspartam, docusate de sodium, dextran 70, mannitol.
Gélule :p gélule
Métopimazine (DCI) 15 mg
Excipients : cellulose microcristalline, amidon de blé, acide alginique, stéarate de magnésium, silice colloïdale, talc. Enveloppe de la gélule : gélatine, dioxyde de titane. 
Solution buvable à 0,1 % :p grad de 1 kg (0,33 ml)p c à c
Métopimazine (DCI) 0,33 mg5 mg
Excipients : acide ascorbique, citrate de sodium, métabisulfite de sodium (E 223), saccharine sodique, saccharose, glycérol, éthanol à 96 %, solution alcoolique d'orange à 70°, eau purifiée. Conservateurs :parahydroxybenzoates de méthyle et de propyle.
Teneur en alcool : 0,016 g par graduation de 1 kg ou 0,245 g par cuillère à café.
Teneur en saccharose : 0,064 g par graduation de 1 kg ou 0,96 g par cuillère à café.
Teneur en sodium : 0,143 mg par graduation de 1 kg ou 2,15 mg par cuillère à café.
Solution buvable à 0,4 % :p 10 gouttes
Métopimazine (DCI) 1 mg
Excipients : acide citrique monohydraté, acide ascorbique, citrate de sodium, disulfite de sodium, saccharose, glycérol, alcool éthylique à 95°, solution alcoolique d'orange à 70°, eau purifiée.
Teneur en alcool : 25 mg pour 10 gouttes.
Solution injectable :p ampoule
Métopimazine (DCI) 10 mg
Excipients : acide ascorbique, citrate de sodium, chlorure de sodium, acide chlorhydrique concentré (qsp pH 4,9), eau ppi.
Suppositoire :p suppositoire
Métopimazine (DCI) 5 mg
Excipients : glycérides hémi-synthétiques solides.

DCINDICATIONS  
Toutes formes :
Traitement symptomatique des nausées et vomissements.
Solution injectable :
Prévention et traitement des vomissements induits par la chimiothérapie anticancéreuse.

DCPOSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION  
Lyophilisat oral :
La posologie est à adapter en fonction de l'horaire et de l'intensité des troubles.
  • Adulte : 15 à 30 mg/jour, soit 2 à 4 lyophilisats oraux par jour.
    Coût du traitement journalier : 0,45 à 0,90 euro(s) (2 à 4 lyoph).
  • Enfant (de 6 à 12 ans) : 7,5 à 15 mg/jour, soit 1 à 2 lyophilisats oraux par jour.
    Coût du traitement journalier : 0,23 à 0,45 euro(s) (1 à 2 lyoph).
  • Enfant de moins de 6 ans : utiliser la forme gouttes.
La prise du lyophilisat oral s'effectue :
  • soit après dépôt sur la langue où sa dégradation est quasi immédiate. Ne pas croquer ;
  • soit après dissolution dans un demi-verre d'eau, où sa dispersion est instantanée.
Gélule :
La posologie est à adapter en fonction de l'horaire et de l'intensité des troubles.
Les gélules doivent être avalées avec un verre d'eau. Ne pas les ouvrir.
  • Adulte : 15 à 30 mg par jour, soit 1 à 2 gélules par jour.
    Coût du traitement journalier : 0,24 à 0,48 euro(s) (1 à 2 gél).
  • Enfant (de 6 à 12 ans) : 7,5 à 15 mg par jour.
    Coût du traitement journalier : 0,12 à 0,24 euro(s) (½ à 1 gél).

    Pour obtenir une posologie inférieure à 15 mg par prise, il est recommandé d'utiliser soit la forme suppositoire sécable, dosée à 5 mg, soit la forme lyophilisat oral dosée à 7,5 mg.
    Pour plus de précisions, se référer à la posologie et au mode d'administration de ces deux spécialités.
  • Enfant de moins de 6 ans : utiliser la forme suppositoire ou suspension buvable.
Solution buvable à 0,1 % :
La posologie est à adapter en fonction de l'horaire et de l'intensité des troubles avec la possibilité de réitérer jusqu'à 3 fois par jour l'administration. Cesser le traitement dès disparition des symptômes.
  • Adulte et adolescent (plus de 12 ans) :
    La posologie est de 5 à 10 mg par prise, soit 1 à 2 cuillères à café par prise, au maximum 3 fois par jour (soit au maximum 30 mg par jour).
    Coût du traitement journalier : 0,11 à 0,66 euro(s) (1 à 2 unités de prise).
  • Nourrisson et enfant :
    Enfant de plus de 15 kg : la posologie est de 2,5 à 5 mg par prise, soit ½ à 1 cuillère à café par prise, au maximum 3 fois par jour (soit au maximum 15 mg par jour).
    Coût du traitement journalier : 0,05 à 0,33 euro(s) (½ à 3 unités de prise).

    Enfant jusqu'à 15 kg : la posologie est de 0,33 mg par kg de poids de l'enfant et par prise, soit une graduation de la seringue par kg de poids de l'enfant et par prise, au maximum 3 fois par jour (soit au maximum 1 mg par kg de poids et par jour).
Mode d'administration :
Ce médicament s'administre par voie orale.
Chez l'enfant jusqu'à 15 kg, le médicament s'administre au moyen de la seringue pour administration orale graduée en kg de poids. La seringue délivre une dose de 0,33 mg par graduation. La dose par prise se lit donc directement sur les graduations de la seringue en kg de poids de l'enfant.
La dose à administrer pour une prise est ainsi obtenue en aspirant la solution, en tirant le piston de la seringue pour administration orale jusqu'à la graduation correspondant au poids du nourrisson ou de l'enfant. Introduire légèrement la seringue pour administration orale sur le devant de la bouche et pousser lentement le produit à administrer.
Chez l'enfant de plus de 15 kg, l'adulte et l'adolescent, le médicament s'administre au moyen d'une cuillère à café.
Solution buvable à 0,4 % :
La posologie est à adapter en fonction de l'horaire et de l'intensité des troubles.
  • Adulte : 15 à 30 mg par jour.
    Coût du traitement journalier : 0,29 à 0,59 euro(s) euro(s) (150 à 300 gouttes).
  • Enfant de 6 à 12 ans : 7,5 à 15 mg par jour.
    Coût du traitement journalier : 0,15 à 0,29 euro(s) (75 à 150 gouttes).
  • Enfant de moins de 6 ans : 1 mg/kg/jour, soit 10 gouttes/kg/jour.
Solution injectable :
10 à 20 mg par jour, soit 1 à 2 ampoules par jour, en général par voie IM.
Coût du traitement journalier : 0,42 à 0,84 euro(s).
La voie IV est possible. Dans un tel cas, pratiquer une injection lente et diminuer les doses chez les sujets âgés ou porteurs d'anomalies cardiovasculaires.
Chimiothérapie émétisante :
Selon le caractère plus ou moins émétisant de la chimiothérapie anticancéreuse, la posologie par 24 heures est de 30 à 50 mg de métopimazine, administrée par voie IM ou en perfusion (la voie IV est éventuellement possible sous réserve de respect des précautions d'emploi).
La dose totale par 24 heures peut être répartie en plusieurs injections ou perfusions, la première administration se faisant de préférence avant la thérapeutique anticancéreuse.
Coût du traitement journalier : 1,25 à 2,09 euro(s).
Suppositoire sécable :
La posologie est à adapter en fonction de l'horaire et de l'intensité des troubles avec la possibilité de réitérer jusqu'à 3 fois par jour l'administration. Cesser le traitement dès disparition des symptômes.
  • Adulte : 15 à 30 mg par jour, soit 3 à 6 suppositoires sécables par jour au maximum, répartis en 3 prises.
    Coût du traitement journalier : 0,58 à 1,16 euro(s).
  • Enfant de 6 à 12 ans : 7,5 à 15 mg par jour, soit 1,5 à 3 suppositoires sécables par jour au maximum, répartis en 3 prises.
    Coût du traitement journalier : 0,29 à 0,58 euro(s).
  • Enfant de moins de 6 ans : 1 mg/kg/jour au maximum, réparti en 3 prises. 

DCCONTRE-INDICATIONS 
  • Risque de glaucome à angle fermé.
  • Risque de rétention urinaire lié à des troubles urétroprostatiques.
  • Hypersensibilité à la métopimazine ou à l'un des excipients du produit.
  • En association avec tous les dopaminergiques ou la lévodopa (cf Interactions).
  • Lyophilisat oral : phénylcétonurie, en raison de la présence d'aspartam.
  • Gélule :
    Hypersensibilité ou intolérance au gluten, en raison de la présence d'amidon de blé (gluten).
    Ce médicament est contre-indiqué chez les patients présentant une allergie au blé (autre que la maladie coeliaque).

DCMISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI  

Mises en garde : 
Solution buvable :
L'utilisation de ce médicament est dangereuse chez les sujets alcooliques et doit être prise en compte chez les femmes enceintes ou allaitant, les enfants et les groupes à haut risque tels que les insuffisants hépatiques ou les épileptiques.
Ce médicament contient du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase.
  • Solution buvable à 0,1 % :
    Ce produit contient :
    • du métabisulfite de sodium pouvant provoquer des réactions allergiques sévères et un bronchospasme (cf Effets indésirables) ;
    • 0,016 g d'éthanol (alcool) par graduation de 1 kg ou 0,245 g d'alcool par cuillère à café ;
    • des parahydroxybenzoates de méthyle et de propyle (pouvant provoquer des réactions allergiques, éventuellement retardées).
  • Solution buvable à 0,4 % :
    Ce produit contient :
    • du disulfite de sodium pouvant provoquer des réactions allergiques sévères et un bronchospasme (cf Effets indésirables) ;
    • 0,025 g (10,8 % v/v) d'éthanol (alcool) par 10 gouttes ou 0,125 g d'alcool par cuillère à café ;
    • du sodium. Le taux de sodium est inférieur à 1 mmol par prise, c'est-à-dire « sans sodium ».
Précautions d'emploi : 
La prise de boissons alcoolisées pendant le traitement est déconseillée.
Prudence :
  • chez les sujets âgés, en raison de leur sensibilité : risque d'effets sédatifs, d'hypotension ; 
  • en cas d'insuffisances rénale et/ou hépatique : risque de surdosage éventuel.
La prise de ce médicament est déconseillée avec des boissons alcoolisées ou des médicaments contenant de l'alcool (cf Interactions).
Gélule :
Ce médicament peut être administré en cas de maladie coeliaque. L'amidon de blé peut contenir du gluten, mais seulement à l'état de trace, et est donc considéré comme sans danger pour les sujets atteints d'une maladie coeliaque.
Solution buvable à 0,1 % :
  • Ce médicament contient 0,064 g de saccharose par graduation de 1 kg ou 0,96 g de saccharose par cuillère à café : en tenir compte dans la ration journalière en cas de régime pauvre en sucre ou de diabète. 
  • Ce médicament contient 0,143 mg de sodium par graduation de 1 kg ou 2,15 mg de sodium par cuillère à café : en tenir compte chez les personnes suivant un régime hyposodé strict.
Solution injectable :
En cas d'injection IV, possibilité d'hypotension nécessitant une réduction de la posologie, une injection lente, le sujet étant en décubitus.
La voie IV est déconseillée chez les sujets âgés en raison de leur sensibilité (risque d'effets sédatifs, d'hypotension) et chez les sujets porteurs d'anomalies cardiovasculaires.

DCINTERACTIONS  
Interactions médicamenteuses : 
Médicaments sédatifs :
Il faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substances peuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central et contribuer à diminuer la vigilance. Il s'agit des dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques, des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que les benzodiazépines (par exemple, le méprobamate), des hypnotiques, des antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurs centraux, du baclofène et du thalidomide.

Contre-indiquées : 
  • Dopaminergiques (tous) : antagonisme réciproque du dopaminergique et du neuroleptique antiémétique. Utiliser un antiémétique dénué d'effets extrapyramidaux.

Déconseillées : 
  • Alcool : majoration par l'alcool de l'effet sédatif des neuroleptiques. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Éviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.

Nécessitant des précautions d'emploi : 
  • Topiques gastro-intestinaux, antiacides et charbon : diminution de l'absorption digestive des neuroleptiques. Prendre les topiques gastro-intestinaux, antiacides ou charbon à distance du neuroleptique (plus de 2 heures, si possible).

A prendre en compte :
  • Antihypertenseurs : effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majoré (effet additif).
  • Autres dépresseurs du SNC : dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution) ; neuroleptiques ; barbituriques ; benzodiazépines ; anxiolytiques autres que benzodiazépines ; antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine) ; antihistaminiques H1 sédatifs ; antihypertenseurs centraux ; autres (baclofène, pizotifène, thalidomide) : majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines.
  • Bêtabloquants (sauf esmolol et sotalol) : effet vasodilatateur et risque d'hypotension, notamment orthostatique (effet additif).
  • Médicaments atropiniques : il faut prendre en compte le fait que les substances atropiniques peuvent additionner leurs effets indésirables et entraîner plus facilement une rétention urinaire, une poussée aiguë de glaucome, une constipation, une sécheresse de la bouche, etc. Les divers médicaments atropiniques sont représentés par les antidépresseurs imipraminiques, la plupart des antihistaminiques H1 atropiniques, les antiparkinsoniens anticholinergiques, les antispasmodiques atropiniques, le disopyramide, les neuroleptiques phénothiaziniques ainsi que la clozapine.
  • Dérivés nitrés et apparentés : majoration du risque d'hypotension, notamment orthostatique.

DCFERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT  
Ce médicament doit être utilisé avec prudence pendant la grossesse et l'allaitement, en l'absence de données cliniques exploitables.

DCCONDUITE et UTILISATION DE MACHINES  
L'attention des patients est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur le risque de somnolence.

DCEFFETS INDÉSIRABLES  
Selon les conventions en vigueur, les effets indésirables ont été classés en fonction de leur fréquence, par classe système/organe selon MedDRA, en utilisant la classification suivante : très fréquent (>= 1/10) ; fréquent (>= 1/100 et < 1/10) ; peu fréquent (>= 1/1000 et < 1/100) ; rare (>= 1/10 000 et < 1/1000) ; très rare (< 1/10 000).

Affections du système nerveux :
RareSédation ou somnolence
Très rareSymptômes extrapyramidaux : dyskinésies précoces (torticolis spasmodiques, crises oculogyres, trismus*, possibilité de dyskinésies tardives comme avec tous les neuroleptiques au cours de cures prolongées
Affections vasculaires (cf Mises en garde et Précautions d'emploi) :
RareHypotension orthostatique (observée en particulier avec la forme injectable)
Affections gastro-intestinales :
RareSécheresse de la bouche
Très rareConstipation
Affections oculaires :
Très rareTroubles de l'accommodation
Affections rénales et urinaires :
Très rareRétention urinaire
Affections endocriniennes :
RareHyperprolactinémie, gynécomastie, galactorrhée, aménorrhée
Affections de la peau et du tissu sous-cutané :
RareRashs ou éruptions cutanées
Affections des organes de reproduction et du sein
RareImpuissance, frigidité

* Les symptômes extrapyramidaux ont été généralement rapportés en début de traitement et ont été réversibles à l'arrêt du traitement. Un traitement symptomatique peut être administré (benzodiazépine chez l'enfant et benzodiazépine et/ou antiparkinsonien anticholinergique chez l'adulte).En raison de la présence de métabisulfite de sodium (solution buvable à 0,1 %) ou de disulfite de sodium (solution buvable à 0,4 %), risque de réactions allergiques, y compris réactions anaphylactiques et bronchospasmes.

DCSURDOSAGE  
A dose massive (5 fois la dose thérapeutique), la métopimazine entraîne une dépression du système nerveux central (somnolence, coma vigil), une hypotonie ou une hypotension artérielle. Aucun décès n'a été rapporté. En cas d'intoxication aiguë, un lavage gastrique, si le malade est vu tôt, sera effectué, ainsi qu'un traitement symptomatique des troubles observés.




FORMES et PRÉSENTATIONS 
Crème rectale :  Tube de 20 g + canule. 
Suppositoire :  Boîte de 10, sous plaquettes thermoformées.


COMPOSITION  
Crème rectale :p tube
Trimébutine (DCI) 1,16 g
Ruscogénines 100 mg
Excipients : cire émulsionnable non ionique au cétomacrogol 1000, alcool cétostéarylique, myristate d'isopropyle, propylèneglycol, monostéarate de glycérol, eau purifiée. Conservateurs :parahydroxybenzoate de méthyle et parahydroxybenzoate de propyle.
Suppositoire :p suppos
Trimébutine (DCI) 120 mg
Ruscogénines 10 mg
Excipient : glycérides hémi-synthétiques solides.

DCINDICATIONS  
Traitement symptomatique des manifestations douloureuses et prurigineuses anales, des syndromes fissuraires, en particulier dans la crise hémorroïdaire.

DCPOSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION  
Une à deux applications de crème rectale par jour. 
Un à deux suppositoires par jour. 

DCCONTRE-INDICATIONS  
Hypersensibilité à l'un des constituants, notamment au propylèneglycol (crème rectale).

DCMISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI  
L'administration de ce produit ne dispense pas du traitement spécifique des autres maladies anales. Le traitement doit être de courte durée. Si les symptômes ne cèdent pas rapidement, un examen proctologique doit être pratiqué et le traitement doit être revu.
Crème :
  • Ce médicament contient du propylèneglycol et peut provoquer des irritations cutanées.
  • Ce médicament contient de l'alcool cétostéarylique et peut provoquer des réactions cutanées locales (par exemple, eczéma).
  • Ce médicament contient du parahydroxybenzoate et peut provoquer des réactions allergiques (éventuellement retardées).
  • Ce médicament contient du glycérol et peut provoquer des troubles digestifs et un effet laxatif léger (diarrhée).

DCEFFETS INDÉSIRABLES  
Rares réactions cutanées (suppositoires).

PPPHARMACODYNAMIE  
Antihémorroïdaire topique (C : système cardiovasculaire).
Trimébutine : antispasmodique.
Ruscogénines : veinotoniques et vasculoprotecteurs.


FORME
comprimé effervescent


COMPOSITION

par 1 comprimé effervescent 
arginine aspartate1,5 g
acide ascorbique0,5 g
Excipients : acide citrique anhydre, bicarbonate de sodium, sodium carbonate anhydre, sodium citrate dihydrate, silice colloïdale anhydre, aspartam, saccharine sodique, rouge de betterave, riboflavine phosphate sel de Na, maltodextrine, citron arôme, ( sorbitol, mannitol, D-gluconolactone, citron essence ), sodium.


INDICATIONS
Ce médicament est indiqué dans les états de fatigue passagers de l'adulte (à partir de 15 ans).

POSOLOGIE et MODE D'ADMINISTRATION
Réservé à l'adulte (à partir de 15 ans) :
- Soit un comprimé effervescent le matin et un le midi.
- Soit deux comprimés effervescents le matin ou le midi en une seule prise.
- Ne pas dépasser 2 comprimés effervescents par jour.
Faire dissoudre les comprimés effervescents dans un verre d'eau avant de boire.

CONTRE-INDICATIONS

Absolue(s) :
  • Hypersensibilité à l'un des composants
  • Lithiase urinaire oxalocalcique
  • Phénylcétonurie
  • Intolérance au fructose
  • Malabsorption du glucose et du galactose, syndrome (de)
Relative(s) :
  • Déficit en glucose-6-phosphate-déshydrogénase

MISES EN GARDE et PRECAUTIONS D'EMPLOI
  • Traitement à réévaluer en cas de persistance ou d'aggravation des symptômes ou de la pathologie
    En cas de persistance des troubles au-delà de 1 mois de traitement ou d'aggravation des troubles, une recherche étiologique doit être effectuée et la conduite à tenir réévaluée.
  • Ne pas administrer en fin de journée
    En raison d'un effet légèrement stimulant, il est souhaitable de ne pas prendre ce médicament en fin de journée.
  • Sujet sous régime hyposodé ou désodé
    Ce médicament contient 109 mg de sodium par comprimé effervescent : en tenir compte chez les personnes suivant un régime hyposodé strict.
  • Réservé à l'adulte

IAM : INTERACTIONS MEDICAMENTEUSES
Voir banque Interactions Médicamenteuses

GROSSESSE ET ALLAITEMENT

 Grossesse :
Il n'y a pas de tératogenèse disponible chez l'animal.
En clinique, l'analyse d'un nombre élevé de grossesses exposées n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier de la vitamine C. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l'absence de risque.
En conséquence, l'utilisation de ce médicament ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
 Allaitement :
En l'absence de données sur le passage de la vitamine C dans le lait maternel, l'utilisation de ce médicament est à éviter pendant l'allaitement.

EFFETS INDESIRABLES

  • Brûlure épigastrique
    Fortes doses.
  • Diarrhée
    Fortes doses.
  • Lithiase urinaire
    Forte dose.
  • Hémolyse
    Deficit en g6pd, Forte dose.